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Mise à jour le 29/01/2023

Fake news

Les fake news, ou informations mensongères, ou encore infox, pullulent aussi bien sur la Toile que dans le monde physique. Ce sont d’ailleurs souvent les mêmes, professionnels et amateurs s’appuyant sur tous les canaux disponibles pour propager de fausses informations.

De nombreux sites se consacrent à la vérification des faits, ou « fact-checking », parmi lesquels on peut citer :

• AFP Factuel (AFP)
• Les Observateurs (France 24)
• Les Décodeurs (Le Monde) (accès payant)
• Checknews (Libération) (accès payant)
• Snopes (en anglais)

Hoax

À intervalles réguliers on voit réapparaître des hoax, ces canulars à la vie dure dont le mécanisme récurrent s’apparente à celui des légendes urbaines. Or, il existe des sites spécialisés dans le démontage de ces supercheries, comme hoaxbuster.com (plateforme collaborative contre la désinformation, mise à jour datée) ou hoaxkiller.fr.

Vous pouvez aussi effectuer une simple recherche à partir du nom du canular suivi du terme « hoax ».

Vérification contre la propagation

Si vous avez le moindre doute face à une information, n’hésitez pas à consulter ces sites. Soyons vigilants à ne pas propager de fausses informations.

Et si l’information ainsi démontée nous semble elle-même mensongère (un vaste débat est en cours concernant la responsabilité de dire le vrai du faux), rappelons-nous qu’à la base de l’information il y a les données, c’est-à-dire les faits. C’est notre matériau brut.

L’information ne répond pas à un interrupteur binaire

La méfiance toute légitime face à certains médias traditionnels n’est nullement une garantie d’exactitude ni de probité des sites alternatifs. Pourquoi les sites mainstream devraient-ils être les seuls à être remis en question ? Pourquoi les médias alternatifs seraient-ils forcément dans le vrai ? L’opposition à la « ligne officielle » n’est garantie de rien.

Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage !